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Quelques idées...

Quelques idées...
23 avril 2013

Bonnes adresses lyon 1er

 

Goûter rue Romarin

 

4 rue Romarin : Laureline's Corner

FairyCakes

[à l'angle de la rue Romarin et de la rue des Capucins, juste en face de A chacun sa Tasse]

Testé et approuvé !

A croquer : Des petits cupcakes à croquer, aux goûts improbables (chocolat-spéculos, banane-nutella...) et à croquer avec leur jolis glaçages décorés de bonbons et paillettes ! Des thés ou des chocolats chauds (au marshmallow !) pour accompagner...

Déco : Un magasin tout nouveau avec une déco peut être un peu trop moderne, mais on va dire qu'ils sont en train de se lancer !

 

Plus d'infos

 

2 rue du Griffon : A chacun sa tasse

Salon de thé

[à l'angle de la rue Romarin et de la rue des Capucins, juste en face de Laureline's Cornes]

A tester au plus vite ! (ça à l'air super bon, et la déco est top !)

 

 

14 rue Romarin : Hello Brooklyn

La Fabrique à Donuts

A tester au plus vite !

 

 

 Place des Terreaux

Boston Taverne

Des bonnes bières. On peut commander des panières de frites pour par cher ! Super sympa, sur la terrasse pendant l'été ! Ou même à l'intérieur pendant l'hiver, dans des petites alcoves !

 

rue de l'Arbre Sec


Le Ninkasi

On fabrique son hamburger

Super bon, et des bières délicieuses !

 

Les Fils à Maman

Délicieux, super déco année 80, des bonbons à l'addition...

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25 janvier 2013

Picasso

fde

 

 

 

I° Précubisme : phase cézannienne 1907-1909

Les artistes continuent à se chercher… Ils stagnent, ne savent plus vers quelle voie se tourner, comment renouveler la peinture...

Et là BOUM ! C’est la révélation ! Cézanne avait tout compris !

« Cézanne ! Cézanne ! » Depuis que le peintre est mort en 1906, on entend parler de lui partout « Cézanne est le sujet de conversation de tous les ateliers » écrit Maurice Denis.

Le peintre a passé sa vie dans l’ombre de ses camarades impressionnistes, amers face à sa carrière qui ne décollaient pas, humilié par ses échecs à répétition, choisit même comme modèle par Zola lorsque celui-ci écrivit l’histoire de son peintre raté dans l’Oeuvre… Et pourtant, un an à peine après sa mort, quel succès ! Quelle renommée ! Les artistes de l’époque se pressent pour admirer ses œuvres aussitôt que celles-ci sont exposées dans les salons, et envahissent la boutique de Vollard, le marchand d’art qui en possède plusieurs.

La grande rétrospective de l’œuvre de Cézanne au salon d’Automne de 1907 fait l’office d’une bombe ! Cezanne a montré une nouvelle voie et les artistes lui emboitent le pas. Ils lisent avec avidité les lettres du peintre à Emile Bernard, qui seront publiés la même année, cherchant à s’approprier sa manière de penser, tentant d’y décrypter la ligne de conduite, le mode d’emploi qui leur permettre de marcher dans les pas du maître. Une phrase en particulier retient leur attention :

"Traiter la nature par le cylindre, le cône et la sphère,  le tout mis en perspective,

 soit que chaque côté d'un objet, d'un plan, se dirige vers un point central "

 

C’est donc ça la clé magique ! Certains artistes, et en particulier Picasso et Braque, vont appliquer ce principe à la lettre, et s’en servir de fil conducteur dans leur art. Ces artistes deviendront  les cubistes. Cependant, ils négligent la suite de la lettre qui module pourtant considérablement ce précepte : ils ont piochés ce qui les arrangeait dans les paroles de Cézanne, et c’est sur un malentendu, une interprétation simpliste qu’ils vont développer ce nouveau mouvement !!

Cézanne a déclenché l'une des recherches artistiques les plus riches du 20e siècle

Matisse peint son Nu Bleu, souvenir de Biskra en 1907, Derain ses Baigneuses. La révolution est en marche. Le critique Vauxcelles critique les « simplifications barbares »

A cette époque, Picasso est un jeune peintre installé à Paris. Il observe, s’inspire. De Cezanne d’abord, bien sûr, puis de ces fauves dont tout le monde parle (le Nu Bleu de Matisse fera forte impression sur lui au Salon des Indépendants de 1907). Il est également fasciné par cet art primitif, qui s’impose en France, succédant à l’orientalisme du XIXe siècle. Il collectionne les masques africains admirant leurs lignes épurées sans détails superflus. Max Jacob se rappelle que Pablo Picasso avait découvert la sculpture africaine dans l’atelier d'Henri Matisse. Celui-ci avait mis dans la main de Picasso une statue en bois noir, dont il ne s’en était plus séparé de toute la soirée. Le lendemain dans l’atelier de Picasso, apparaissaient nombre de dessins de têtes de femmes avec un seul œil ou un nez très long. De même pour les sculptures ibériques. Il noircit des carnets et des carnets, et après des centaines de dessins préparatoires, il se lance. A son tour de lancer SA révolution !

Lorsque neuf mois après, il dévoile la toile qu’il peint en secret depuis neuf mois, c’est la consternation. "C'est comme si tu voulais nous donner à boire du pétrole pour cracher du feu" aurait dit Georges Braque. Gertrude Stein, qui collectionne Cézanne, Matisse et aimait beaucoup Picasso s’exclame : « ce fut un véritable cataclysme. Je me souviens de Stchoukine, qui a tellement aimé la peinture de Picasso, se trouvant chez moi, me dit en pleurant : "quelle perte pour l'art français ! ». Le tableau reste dans l'atelier de nombreuses années la face tournée contre le mur

Mais pourquoi ce tableau a-t-il tellement choqué ?

Est-ce à cause de ces grandes femmes nues aux positions aguicheuses qui fixent le spectateur d’un regard insistant et provocant ? Ça a été déjà vu et revu ça ! Avec son Olympia, Manet a déjà inscrit de force la prostituée dans la peinture, et Ingres et Delacroix ont déjà traité le sujet du bordel. Ce n’est donc pas la maison close espagnole de la calle Avinyò que Picasso a représenté ici qui choque à ce point les esprits.

C’est plutôt la manière dont celle-ci a été représentée ! Picasso qui dessine si bien, semble avoir perdu la tête. Oubliée la perspective, oubliées les proportions, oubliée le réalisme ! Les corps sont déformés, anguleux « cubiques » ! Alors que les femmes sont vues de face, la corbeille de fruit est observée du dessus. La femme de droite présente à la fois son dos et son visage… Picasso défie les règles de la perspective, et présente plusieurs point de vue dans un même tableau, appliquant à la lettre les théories de Cézanne.

On retrouve aussi l’influence des masques africains dans les deux figures de droite, et celle des sculptures ibériques dans les trois visages de gauche. Picasso a utilisé tous les ingrédients qui le fascine à l’époque, Cezanne, les fauves, le primitivisme, et les statues ibériques et les a ajouté à des sujets classiques : nus et nature morte.

Finalement, Les Demoiselles d’Avignon, l’une des œuvres les plus célèbres de Picasso, constitue à la fois une synthèse du XIXe (l’Olympia de Manet, les scènes de harem composées par Ingres et Delacroix) et une ouverture vigoureuse vers l’art du XXe siècle. Picasso s’approprie pour les dépasser les innovations de Cézanne et des Fauves, ainsi que l’art primitif et ibérique. Cette œuvre, qui suscita des réactions passionnées, est le point de départ du cubisme, caractérisé par un langage géométrique et une multiplicité des points de vue.

Le tableau fut exposé pour la première fois en 1916, au salon d’Antin.

 

Finalement, alors que tout le monde tourne le dos à Picasso, Braque revint le voir après sa présentation, acceptant de collaborer avec lui pour fonder le cubisme ! Ils vont ensemble explorer de nouveaux modes de représentation, formant un véritable duo, « un tandem » comme se plaisait à dire Braque. Ils étaient tellement soudés, qu’on peine aujourd’hui à savoir quelle invention est due à l’un ou à l’autre !

De son côté, Braque apprenti peintre-décorateur avait commencé comme impressionniste jusqu’à ce qu’il découvre les toiles fauves de Matisse et Derain au salon d’Automne de 1905. Il se lance alors dans une période fauviste. La rétrospective de Cézanne en 1907 fait une forte influence sur lui, et il abandonne le fauvisme, partant à la recherche d’un autre système de peinture. Il commence à élaborer un nouveau système de représentation en se basant sur la simplification et la géométrisation des formes et la mise à plat de la perspective. Sa rencontre avec Picasso, qui lui est présenté par Apollinaire en 1907, est une révélation.

En accord avec ses deux influences [Cézanne et Picasso] et son intérêt pour l’art primitif, son orientation picturale est complètement bouleversée. Alors il peint, de décembre1907 à juin1908, Le Grand Nu, echo aux Demoiselles de Picasso, dans lequel il représente les volumes par de larges hachures cernées de noir, en hiver, puis une série de paysages à l’Estaque au cours de l’été. Il expose ses tableaux chez Kahnweiler, marchand d’art qui a ouvert sa galerie en 1907 seulement, après leur refus au salon d’Automne, en novembre1908. Le catalogue est rédigé par Apollinaire. C’est là que Louis Vauxcelle, le critique d’art qui avait déjà donné leur nom aux fauves, en se moquant d’eux lors de leur première exposition, va traiter d’un air dédaigneux ce qu’il appelera des « petits cubes » (la légende dit cependant qu’il n’a fait que répéter l’expression sortie de la bouche de Matisse !)

14 mai 2012

Andy Warhol : la revanche

autoportrait warhol

 

Je dois préparer un exposé pour le cours d'anglais. J'ai choisi Andy Warhol, et ce que j'ai découvert est fascinant !

Quel personnage !

 

Andy Warhol : la revanche du pauvre enfant immigré

qui devient le symbole du rêve américain

 

Andrew Warhola nait en 1928 à Pittsburg, en Pensylvanie. Ces parents sont des immigrés slovaques, et la famille vit pauvrement dans une sorte de ghetto avec les autres immigrés. Andrew est un enfant chétif et fragile. Il souffre de problèmes de peau, et surtout de la danse de St Guy. Cette maladie provoque chez lui des mouvements involontaires qui se propagent le long de tout son corps, mais aussi des grimaces qui déforment son visage sans qu'il puisse le contrôler. Son débit de parole est incontrôlable... Le sort semble s'acharner sur l'enfant. Complexé, il se renferme sur lui même, parle peu. Ses camarades de classe ne l'aiment pas et le rejettent. Il reste seul dans son coin, écoutant la radio, et collectionnant les photos de stars de cinéma qui le fascinent. 

Muet. Mais il observe. Un jour, il prendra sa revanche.

 

Nous sommes en 1949. Andrew a vingt-et-un ans. Il débarque à New-York, son diplôme d'art graphique, de Carnegie Institute of Technology de Pittsburg, en poche et des rêves plein la tête. New-York... La ville où tout est possible, et où, peut-être, un pauvre fils d'immigré pourrait devenir riche et célèbre ?

Il commence à travailler comme dessinateur et publicitaire pour Glamour, puis pour Vogue et Harper Bazzars. Il décore des vitrines de grands magasins. Il a du talent, il sait trouver le "truc" qui plaira, qui attirera le client. Comme lorsqu'il était enfant, il continue à observer, scruter, analyser. Grâce à cette faculté d'observation, il connait les gens, et sait décoder leurs attentes.

Il se fait rapidement un nom dans le milieu de la publicité, recevant de nombreux prix. Certains de ses dessins vont être exposés !

Petite remarque : ouioui, nous sommes au début de la société de consommation, la publicité est un concept tout neuf, et ce qui est neuf fascine ! A cette époque, on peut devenir célèbre parce-qu'on est publicitaire !)

Sa première exposition a lieu à New-York en 1952, puis il en enchaîne d'autres. Il fait le tour du monde.

 

                                 

 

Les années passent, et Andrew se métamorphose peu à peu, il se créé un personnage, se redesine. Il s'affuble d'une perruque blonde platine qui ne le quittera plus, porte des grosses lunettes et se créé un look improbable. Il change de nom, prendant le pseudonyme de Andy Warhol. Le petit Andrew Warhola, enfant d'immigrés slovaque n'est plus.

 

1960 :

Wharol est désormais un publicitaire reconnu. Cela lui a d'ailleurs permis d’amasser une petite fortune. Il grimpe, grimpe... Mais ne compte pas s'arrêter là : il est fasciné par la célébrité, la jet-set, et puis l'argent. Il va tout faire pour atteindre ce milieu. (Cette fascination vire presque à l'obsession : il va harceler Truman Capote de lettres et messages !)

Il veut à son tour posséder l’aura des célébrités qu’il adulait tant dans sa jeunesse.

 

“ I love Los Angeles. I love Hollywood.

They're beautiful.

Everybody's plastic, but I love plastic.

I want to be plastic.”

 

Ayant épuisé le filon de la publicité, il a besoin d’un autre moyen d’atteindre le sommet, et ce moyen il l’a trouvé : l’Art.

« J'ai commencé comme artiste commercial

et je veux terminer comme artiste d'affaires »

 

Lorsqu'il commence à peindre, il a compris et assimilé l'impact de l'imagerie publicitaire sur des millions de consommateurs. Il pressent son potentiel stratégique au niveau artistique et les nombreux concepts nouveaux qui pourraient découler d'une démarche qui l'utiliserait comme support. Mais, il ne sait pas trop comment s’y prendre. Il bidouille, ne sait pas trop ce qu'il veut faire, fait des tests. Il s’inspire des comics.

Mais toutes ses tentatives échouent : sa réputation de publicitaire le précède et personne ne le prend au sérieux en tant qu’artiste.

Et c'est là qu'il entend parler du POP ART. Cet art nouveau, provenant d'Angleterre (lancé par Richard Hamilton et Eduardo Paolozzi, on peut également citer  Roy Lichenstein) et qui se répand peu à peu aux Etas-Unis.

Wharol a trouvé la brèche par laquelle il va pouvoir s’engroufrer dans l’Art ! Il sera le représentant américain du Pop Art !!

Mais comment y entrer ? Le thème des Comics, qui avait d'abord intéressé l'artiste, est déjà pris par le peintre Roy Lichtenstein qui en fait son outil visuel. Celui de la typographie est utilisé par Jasper Johns. Pour se distinguer, Warhol comprend qu'il doit trouver une niche qui devienne son sujet principal. Ses amis lui suggèrent de peindre la chose qu'il adore le plus par-dessus tout. C'est ainsi que pour sa première exposition majeure, il peint les fameuses conserves Campbell's Soup. [celles que sa maman lui donnait quand il était petit ! Cette œuvre est encore considérée comme sa marque de fabrique.

Et c’est avec ce tableau que, en 1962, Wharol participe avec Roy Lichtenstein et des artistes français (comme Klein et Niki de Saint Phalle...) à une exposition majeure du Pop Art et du Nouveau réalisme du nom de The New Realists à New York.

Le succès est immédiat !!! Les œuvres de Wharol s’arrachent.

Irving Blum, directeur d'une galerie de Los Angeles, expose les trente-six boîtes de soupes et les achète toutes. Première exposition exclusive à la Eleanor Wards Stable Gallery à New York.

Wharol ne compte pas s’arrêter là et il cultive avec ferveur son succès. Il ne cesse de produire : près de 2000 tableaux entre 1962 et 1964. L'objectif de Warhol est d'être présent partout, afin de développer sa popularité sur l'ensemble des continents.

Ces sujets touchent tout le monde : riches, pauvres, jeunes, vieux… Il s’agit de symboles américains que tout le monde connait et comprend : Coca-Cola, Mickey, Marylin Moroe, Elvis…. Des produits de consommation ! C’est bien du Pop-Art : Art Populaire. Il s’affranchit des codes et règles encadrant l’Art. Au lieu de traiter des sujets "nobles", il met à l’honneur des objets « banals ». Il rend l’Art accessible et compréhensible par tous. En fait, il a une démarche de vente :il faut que le produit plaise au plus grand nombre, et pas qu’aux connaisseurs. Il veut révéler la beauté du banal, mettre sous les projecteurs tout ce que nous ne voyons plus. Il sort la boite de conserve du rayon de supermarché où elle est présente par millier !!

Pour lui, les supermarchés sont des musées.

Wharol devient rapidement le représenant principal du mouvement aux yeux du public : il est désormais considéré comme le Pape du Pop-Art, alors qu’il s’était initialement incrusté dans le mouvement ! Il a éclipsé tous les autres ! Un hold-up réussi !

 

 

Mais si Andy a autant de succès, c’est qu’il n’est pas qu’un artiste : en parallèle, il cultive son image, jouant avec les médias dont il connait tous les codes. Orchestrant la moindre de ses apparitions. Il se montrait mais pas trop, juste assez pour créer l'évènement lorsque c'était le cas. Prenant pour modèle les stars qu’il adulait dans sa jeunesse, il a su se façonner un personnage unique, mystérieux et envié, qui devient rapidement le représentant principal du mouvement aux yeux du public. médiatiqueToujours l'air distant ou détaché, il parlait peu, et s'attachait à conserver la part de mystère des grandes célébrités pour attiser un peu plus la curiosité qu'il suscitait. Un véritable « people ».

 

En 1965 : Wharol annonce officiellement qu’il arrête l’art. Seulement trois ans après sa première exposition ! Mais cela fait toujours parti de sa stratégie : il préfère fermer le rideau alors qu’il est au sommet de la gloire plutôt que d’attendre que le succès retombe. Il ne veut pas que les gens se lassent de lui !

 

Mais il ne s’arrête pas là pour autant, toujours assoiffé de pouvoir !

 

En 1963, il a créé un énorme atelier dans une vieille usine désafectée « La Factory », dans laquelle il réalisait ses œuvres… Mais pas que ! Cet atelier était ouvert à tous ! Et une foule héroclyte s’y pressait : jeune, vieux, milliardaires, mendiants. C’était THE PLACE TO BE !!!! Et aussi un gigantesque laboratoire pour Wharol qui en profitait pour continuer son analyse des gens : plein de cobayes autour de lui !

 

Au sommet de la gloire, il multiplie les activités : il veut toujours surprendre, choquer. Il faut du NEUF pour se faire remarquer.

 

Il réalise des films « underground », toujours pour dévoiler ce que nous ne voyons pas : par exemple en filmant pendant 6heures un homme en train de dormir….  Et sans son s’il vous plait, pour ne pas nous déconcentrer ! (Sleep) Ou encore un plan fixe de plus de huit heure sur l'Empire State Building (Empire).

 

 

Il créé une revue : "Interview Magazine"

Produit un groupe de rock : les Velvet Underground…

Il devient le chef de file du mouvement underground.

 

 

 

Andrew est devenu une icone, un symbole, comme il l’a toujours rêvé. Tout le monde le connait.

 

Et comme toute icône, il va suscité le déchainement des passions : une folle tentera de l’assassiner en 19…

 

Il ouvre d’autres factorys.

 

Continu à encourager les jeunes artistes, mécènes…

 

 

 Ce que Wharol a apporté :

Est-ce juste de l'Art commercial ? Creux, sans rien derrière ?

 - Dénonce le matraquage des publicités et des journaux.

On ne voit plus rien. Image représenté en plein de fois (les 1000 boites de conserve) : on voit tellement les trucs qu'au final on les voit plus.

Célébrités deviennent des produits de consommation, des photos dans les magazines.

L'accumulation fait perdre leur impact aux choses :

- les stars perdent leurs humanités deviennent des images figées sur papier glacé

- les malheurs perdent leur consistance : chaise électrique, accidents de voiture

Veut attirer l'attention sur ces trucs qu'on ne voit pas.

 

 

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